Norah Rogue
Niveau 1
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Nombre de messages : 166
Equipe Perso : Force de l'ordre
Métier Perso : Forces d'intervention
Age / Sexe Perso : 26 ans, femme
Date d'inscription : 05/10/2010
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Feuille personnage
Points de Vie:
    (99/110)
Force d'âme:
(84/110)
Expérience:
    (1/2000)
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 |  Sujet: Collen Fischer ( Force de l'ordre )  Mar 5 Oct - 20:08 | | - Citation :
NOM, Prénom.
Identité.
Nom : Fischer
Prénom : Collen
Surnom : l'as de pique, puis l'as déchue
Age : 27 ans
Sexe : Féminin
Orientation Sexuelle : Hétéro
Statut : Force de l'ordre, ex chef d'équipe du R.A.I.D.
Nationalité et Origine du personnage : Française
Langues Parlées : Français, anglais
Groupe Sanguin : AB
Personne sur l'avatar : Alicia Keys, j'ai pas trouvé pour Lorie :/
Description.
Portrait Physique :
Collen Fischer, froideur glaciale. Un visage angélique ne reflétant qu'une enveloppe inerte en expressions. Son regard sévère ne montre qu'une certaine détermination dépourvue de toute hésitation. Sa condition physique, c'est après des années d'entrainements qu'elle se l'est bâtie à mesure de ses ambition : un corps sans la moindre imperfection. Car l'imperfection est faiblesse et que la faiblesse ne mène nul part, c'est sur une ligne de conduite stricte qu'elle se repose. Et ce n'est pas en tombant dans la drogue et l'alcool que son corps ne la lâcha. La seule chose de définitivement disparue c'est sa joie de vivre et son sourire. Le jour ou celui-ci disparue, une cicatrice prit sa place. Si les souvenirs de balles sont courants sur les corps des policiers au sein des unités spéciales, la cicatrice de balle au front de Collen est unique. Un vrai miracle pour les médecins, une malédiction pour la jeune femme. Cette blessure n'est pas visible au premier regard, ce n'est pas une chose qu'elle souhaite exposer au monde entier, mais ses mèches de cheveux laissent parfois apparaître cette terrible blessure qui marqua sa vie.
Portrait Psychologique:
Si son état s'améliore, Collen revient de quelques mois de dépressions profondes accompagnés de cocktails divers en drogues et alcools. Elle a perdu goût à la vie et de ses rêves de briller ne subsistent qu'un vaste vide. Est-elle pour autant dénuer du moindre sentiment ? Peut-être, d'où son désintéressement totale à ce qui l'entoure et une douce folie... Douce, le mot est un peu faible car elle adopte parfois un comportement étrange, voir sadique. Barge ? Cette fois c'est un peu exagéré car elle est tout à fait consciente de ses faits et gestes aussi zarb ils peuvent paraître. En tout cas, de ce comportement en découle un sacré mauvais caractère, prenant la mouche pour un rien et il est totalement déconseillé de la chercher sous peine d'en subir les conséquences. Au niveau de ses facultés mentales intrinsèques, elle n'a pas perdu ses bases d'unité spéciale et sait garder son calme en situation critique. Seulement, elle ne tient plus spécialement à la vie et le fait d'avoir échappée miraculeusement à la mort ne lui a pas fait changer d'avis car Collen à déjà perdu à peu prêt tout ce dont à quoi elle tenait, son cœur le premier.
Pour analyser ce comportement singulier, les médecins ont parlé d'une nouvelle personnalité qui s'est développée après les terribles événements de sa vie. Son caractère ambitieux, strict et perfectionniste qui lui a permis de gravir les échelons ont disparu au moment où d'autres traits sont apparus chez la demoiselle. C'est-à-dire le blase, une certaine dureté et une légère folie.
Histoire :
Une histoire ? Où comment partir de rien pour arriver aux sommets avant de descendre la route vers les enfers pour finir à Endworld. Ce que je vais vous raconter, c'est mon histoire. Peut-être qu'un jour, un réalisateur prendra le temps de s'y arrêter dans l'optique de tourner un film sur ma vie. Je vois déjà une jeune starlette camée jouer mon rôle, quel chance elle n'aura pas trop à ce foulée pour rentrer dans le personnage.
Parlons de moi à présent. Et les raisons pour lesquelles je suis devenue flic. De un, car je suis totalement barrée dans une carrière d'humoriste et de deux, c'est une histoire de famille. Comme souvent dans ce genre de carrière. Un père flic, un grand-père flic et je ne vous raconte même pas le reste de la famille. Pas étonnant qu'on bouffe du poulet à chaque réunion de famille depuis aussi longtemps que je me souvienne. Et toujours la même rengaine, d'un côté mes oncles qui ralliaient mon père de n'avoir qu'une fille et de l'autre mes cousins me raillant de ne pas être un garçon. Mais dans une société injuste où l'on prône l'égalité des sexes, il ne faut pas se voiler la face; une fille devra toujours faire ses preuves là où les hommes ne font que parader. Même mon père était septique le jour ou je lui ai annoncé mon vœux d'embraser la carrière de la justice. Serais-je à la hauteur ? C'est une question que je me suis tous les jours posées les premiers mois à l'académie de police. A force de persévérance et de courage, je me suis accrochée et le travail paie. Pas à pas je comblais, puis dépassais mes camarades pour finir en tête de la promotion.
Quelle idée. Au lieu de devenir une flic lambda, des opportunités se sont ouvertes à moi et mon ambition m'a poussé à les prendre les yeux fermés. CRS, unité spéciale, stups pour finir par intégrer le top du top de la police : le R.A.I.D.. L'unité spéciale de Recherche Assistance Intervention et Dissuasion. Il faut dire, j'étais parfaite à l'époque. Respect de mes hommes, compétente, appréciée mes supérieurs,efficace et irréprochable. Je suis vite devenue chef d'équipe de ma propre unité et tout allait bien.
Puis vient l'affaire Sandretti. Trafics de drogues et d'armes. J'avais les épaules pour remplir la mission, un succès m'ouvrirait une nouvelle promotion. C'est sans doute pour ça que j'ai commis ma première erreur de ma carrière poussée par l'ambition : la précipitation. Les indics nous ont pris au dépourvue et il à fallu organiser toute une opération en quelques heures si on voulait prendre Sandretti et ses collaborateurs la main dans le sac. C'est dans mes cordes, c'est pour ça qu'on me paye et cette affaire n'avait que trop trainé pour y mettre un terme définitif. Seulement nos infos n'étaient pas fiables et c'est à une véritable forteresse qu'on s'attaqua, il y avait bien trois fois plus d'hommes que prévus. Dans ces cas là on attend les renforts mais les mes hommes étaient confiants et nous avions l'effet de surprise avec nous. Et quand les renforts avaient pour chef l'un de mes cousins, l'occasion était trop belle pour l'enfoncer une bonne fois pour toute. L'assaut fut donné. Une vraie boucherie. Les balles fusaient de partout et on étaient là à se faire canarder comme jamais. Pourtant nous n'abandonnions pas et nous sommes les meilleurs après tout. Minute par minute nous prenions l'avantage et c'est avec un sacré plaisir que j'alignais Sandretti dans mon viseur.
Et Baaam ! Une balle en plein cœur. Non pas sur Sandretti je suis pas folle, je me suis contenté de le désarmé et ensuite de l'arrêter d'un tir dans la rotule. Un qui ne bougeras plus. Et quand la tête tombe, les autres membres aussi, le reste fut qu'une formalité. Mes équipiers ont le sourire, nous avons réussi, j'ai réussi ! Les malfaiteurs sont maîtrisés, envoyez les renforts nettoyer tout ça. Et non, un autre délit de sale gueule avec un magnum court vers nous à toute vitesse, pas le temps de se poser la moindre question, c'est par pur réflexe que je réagis et tire. Vous imaginez la scène au ralentit avec une cascade digne d'Hollywood et c'est d'un parfait shoot à la tête que je ponctue la scène. Ce n'est qu'une fois les cris autour de moi et mes coéquipier courant vers le corps inerte que je comprit. Jean-Charles Delacour est mort. Qui est-il ? Le début de mes emmerdes.
Qui était jean-Charles ? Il se faisait appelé Johnny Kingsley et se faisait passer pour un trafiquant de drogue. Il bossait pour les stups... La bonne entente entre les différentes maisons chez les flics n'avaient semble-t-il pas marché aussi bien que prévue. Quoiqu'il en soit cette bavure n'était rien comparé à l'arbre généalogique de la victime. Son père surtout, préfet de police au bras long, très long et avec beaucoup d'amis, énormement. J'ai tiré le gros lot et ce n'est pas les menaces de vengeance de Sandretti qui me sortiront des emmerdes futures.
Les sanctions ne tardèrent pas. Mise à pied le temps de l'enquête, on va me juger pour avoir abattue un flic infiltré. En attendant je suis confinée chez moi avec mon copain et mon poisson rouge. Et si ça ne suffisait pas, Sandretti s'acharnait autant que les jurés sur moi. Malgré un changement d'adresse sous couvert de la police, c'est là que tout bascula. Comment les tueurs du trafiquant d'arme ont-il pu avoir mon adresse ? Les Delacour ont beaucoup d'amis au sein de la police et pour beaucoup, rendre la monnaie de la pièce ne serait que justice.
C'est un samedi, il y a un an presque jour pour jour que cette vengeance est venue frapper sur le pas de ma porte. On rentrait de chez les beaux-parents, un enfer. Pourquoi n'a-t-elle pas frapper juste avant de partir ? En tout cas sniper embusqué, silencieux, deux balles dans la tête et pas une chance d'y échapper. C'est du travail de pro, la dernière image qui me reviens est face à mon copain, inerte au sol, une partie de sa cervelle décorant le trottoir et mon cas ne devait pas être vraiment différent. Je fermais les yeux, je suis morte.
Pas tout à fait. Je ne sais combien de temps je suis restée dans le coma. Des jours, des semaines peut-être. Le docteur trimballait une radiographie de ma tête comme un trophée à ses collègues et au mien. Une balle en pleine tête de ce calibre se logeant bien dans le cerveau. Miracle que celui-ci n'est pas était touché plus que ça. Il parait que même le suicide d'une balle en pleine tête n'est pas le plus sur moyen d'en finir. Mais pourquoi on-t-il rallumé les machines ? Ne pouvait-ils pas me laisser agoniser ? Non, la vie ne me laissera pas partir si simplement. Si je suis en vie, c'est pour une bonne raison, me venger ? On est pas dans cette vie de justiciers masqués faisant régner la justice par tout moyen. Non, le monde où l'on vit ne s'occupe que d'enfoncer un peu plus les gens touchant le fond. Et le préfet Delacour n'en avait visiblement pas fini avec mon matricule.
En rentrant chez moi, ce n'est que pour apprendre la sanction disciplinaire. Rayée des R.A.I.D., suspension d'un an et mutation promise dans une petite ville calme comme agent de circulation. Et vous croyait que j'ai bien pris la nouvelle ? La bonne blague. Dés le premier mois j'ai sombré dans l'alcool, au deuxième, une ancienne des stups comme moi à facilement trouvé de quoi remplacé la vodka par la coke. Et si on me prend ? Une nouvelle sanction ? Hahahaha qu'ils viennent ces enfoirés ! Mon passage devant la court martial de police je devais à peine avoir les idées claires. Ils m'ont enlevé ma carrière, j'ai perdu mon copain et mon âme n'est plus qu'une enveloppe vide coupée de la moindre ambition comment ça pourrait être pire ? Ma mutation à Endworld ? Une partie de rigolade !
Des longs mois à expérimenter toutes sortes de cocktail détonant, ma santé mentale a du en prendre un coup durant cette période, me fournissant chez les dealer eux-même en jouant les flics en services. Quelques pots-de-vin reçu et je m'offris une bécane digne de ce nom. Une vie chaotique qu'il fallait bien stopper du jour au lendemain. Le jour de la fin de ma suspension arrivant à grand pas, je devais être clean aux tests physiques et mentaux. J'en ai tellement passé durant ma carrière que ceux-ci ne furent qu'une formalité. Immédiatement après j'étais de nouveau pétée mais l'essentiel est là. Me revoici flic, de circulation mais flic quand même.
Sur mon casier un petit mot signé préfét Delacour. Blalalalablalabla... Il m'assure qu'il s'assure que jamais je ne bougerai de ce bled, adieu Paris et en prime il prendra des mesures pour que jamais on ne m'accorde une seule montée en grade. La circulation à vie ou on s'assurera de trouver de la drogue dans mes affaires et on me collerait au trou pour des années. Si seulement il savait qu'il n'aura même pas besoin de la placer pour la trouver ce con.
Endworld, en ce doux début de mois de juillet, tu accueilles en ton commissariat une douce barge prête à faire régner l'ordre et la justice au sein de la circulation. Soit clément avec elle qui a déjà tout perdu et qui ne pense pas qu'en débarquant ici, l'enfer n'aura jamais été aussi proche. Mais qu'elle importance ? Elle a déjà touché le fond mentalement...
Vous.
Age : 24 ans
Par quel moyen êtes-vous arriver jusqu'ici ? Par l'autoroute
Votre avis sur le forum ? Les MJ sont mes amis ! Aieuhhhh
Autres détails : Vous vous souvenez, la petite Julie Manza ? Et bien c'est moi de retour mwhahahaha
- Citation :
Fiche de statistique et d’équipement du personnage
Faction:F.D.O.
Force De l'Ordre Minimum requis: 15 Arme à distance 15 Observation 15 Corps à Corps 10 Aisance orale 5 conduite 5 Ruse 5 athlétisme points supplémentaires: (20) +5 Corsp à Corps +5 Observation +5 Arme à distance +5 Agilité Caractéristiques:
Physique: 7
Dextérité: 7
Esprit: 3
Prestance: 4
Perception: 5
La chance: 4
Les équipements:
-Arme de service: Sig Sauer P226 T (3 chargeurs)
-fusil à pompe (15 cartouches)
-Tonfa
-Menottes et clefs
-Gilet pare balles
-radio
-Holster
Les compétences:
Agilité: 17 (10+2+5)
Aisance orale: 13 (11+2)
Armes à Distance: 30 (15+10+5)
Athlétisme: 12 (10+2)
Conduite: 5
Corps à Corps: 20 (15 +5)
Observation: 24 (15+4+5)
Premiers soins: 7 (5+2)
Ruse: 6 (5+1)
Savoir: 5
Survie: 8 (5+3)
Vos point de vie et force d’âme:
Points de vie : 120
Force d'âme : 100
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Dernière édition par Collen Fischer le Dim 24 Oct - 11:03, édité 8 fois |
